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LE NAIN
SOUVENIR DU PAVÉ LATIN.
uisque Jean Richepin, mon excellent camarade et confrère, a nommé dernièrement dans ses articles Astezani, je veux, en souvenir de l’intérêt que nous inspira jadis cette ébauche macabre, essayer d’en évoquer la silhouette tordue et touchante.
Je l’ai peint d’ailleurs, autrefois, grattant sa mandoline, assis au milieu des fleurs, et j’ai conservé la toile ; il est là devant moi,