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un ses rayons.) Pas celui-là ! Rien de sinistre comme la lumière verte sur les amants qui s’éveillent. Chacun croit tenir un noyé en ses bras. Pas celui-là ! Le violet et le pourpre sont les couleurs qui irritent les sens. Gardons-les pour ce soir. Voilà, voilà le bon, le safran ! Rien ne relève comme lui la fadeur de la peau humaine… Vas-y, soleil !
La chambre d’Alcmène apparaît dans une lumière de plein soleil.
SCÈNE DEUXIÈME
Alcmène déjà debout. Jupiter étendu sur la couche et dormant.
Alcmène. — Lève-toi, chéri. Le soleil est haut.
Jupiter. — Où suis-je ?
Alcmène. — Où ne se croient jamais