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Page:Goncourt - Journal, t9, 1896.djvu/300

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Frantz Jourdain, peint, dans un lavis d’encre de Chine, par Besnard (1890), sur un exemplaire de : À la Côte, un lavis dont la pochade sort de dessous le pinceau d’un maître.

Rod, peint à l’huile par Rheiner, un peintre suisse (1892), sur un exemplaire de : La Course à la Mort.

Jean Lorrain, peint à l’huile par de la Gandara (1894), sur un exemplaire des : Buveurs d’âmes.

Gustave Toudouze, peint à l’huile par son frère Édouard Toudouze (1890), sur un exemplaire de : Péri en mer.

Burty, peint à l’huile par Chéret, sur un exemplaire de : Pas de lendemain, un portrait d’un très brillant coloris.

Claudius Popelin, peint à l’aquarelle par son fils (1889), sur un exemplaire de : Un Livre de Sonnets, une aquarelle de la plus habile facture.

Bracquemond, peint à l’aquarelle par lui-même (1890), sur un exemplaire : Du Dessin et de la Couleur, un portrait où l’habitant de Sèvres s’est représenté, sous un aspect un peu rustique.

Robert de Montesquiou, peint à l’huile par de la Gandara (1893), sur un exemplaire du beau livre des : Chauves-Souris, portrait rendant la silhouette et le port de tête du poète.

Henri de Régnier, peint à la gouache par Jacques Blanche (1895), sur un exemplaire : Le Trèfle noir.

Edmond de Goncourt, peint à l’huile par Carrière (1892), sur un exemplaire de : Germinie Lacerteux, de l’édition in-4o, tirée à trois exemplaires, aux frais