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Page:Goncourt - Outamaro, 1891.djvu/191

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OUTAMARO

tous les trois, partie des raretés bibliographiques, possédées par M. Gillot, semblent être de la bonne impression et du beau tirage du commencement du siècle.

Enfin un petit livre de la collection de M. Duret, ayant pour titre : Les Mœurs des femmes selon leur état, et représentant :

1o — Une danseuse ancienne ; 2o — Une maîtresse de koto ; 3o — Une poétesse ; 4o — Une courtisane ; 5o — Une nourrice ; 6o — Une schinzô (apprentie-courtisane) ; 7o — Une messagère d’une princesse ; 8o — Une veuve ; 9o — Une coiffeuse ; 10o — Une doctoresse ; 11o — Une tireuse de flèches et vendeuse d’arcs ; 12o — Une paysanne ; 13o — Une marchande de bûches ; 14o — Une danseuse sacrée, niko ; 15o — Une marchande ; 16o — Une shiokumi (celle qui recueille l’eau de mer pour le sel).

Un charmant exemplaire d’un petit volume du temps du grand dessin d’Outamaro, et à la sobre coloration.


Dans la série des livres en couleur appartenant spécialement à l’histoire naturelle, on connaît :