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Page:Grand’Halte - Les gaités d’un pantalon, 1921.djvu/87

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IX

Heures savoureuses.


Si François était paisible, Léa pleine d’espoir, Joseph, le charbonnier, par contre, éprouvait un désir violent de revoir la demoiselle qui sentait la violette et la jacinthe.

On était à l’époque de la canicule, mais de cela on ne pouvait déduire que chez les Cayon, le charbon fût inutile.

Joseph chargea donc un sac sur ses épaules et bravement monta au second.

Le cœur battant, les lèvres humides, il sonna :

— Vou…grri ! si c’est la demoiselle, j’ lui expliquerai la chose sur le palier… Si c’est la