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Page:Grave - Les Aventures de Nono.djvu/237

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XVI

UNE PROMENADE DANS MONNAÏA


De loin, la ville lui avait semblé magnifique ; mais, maintenant, à droite, à gauche, il voyait des ruelles étroites, ténébreuses, bordées de bicoques branlantes, suant la misère et la saleté, et qui contrastaient avec la route qu’il suivait, belle, large et plantée d’arbres.

Cependant, en avançant, ces ruelles misérables faisaient peu à peu place à des rues plus larges, plus aérées, bâties de maisons