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FIN D’AUTOMNE
Mélancoliques jeux, mystérieux délires
Dans l’aube et dans le soir, Les derniers jours d’automne ont la douceur des Ivres
Qu’on entend sans les voir.
Ils sont tristes et lents comme un chant monotone
Qui ne peut s’achever ; Ils sont là devant nous ; notre regard s’étonne,
Nous croyons les rêver.