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Page:Hérondas - Mimes, trad. Dalmeyda, 1893.djvu/71

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GULLIS.

Puisse-t-il, mon enfant, abonder dans tes cuves. Il est doux, par Déméter. Gullis n’a jamais bu de meilleur vin que celui de Métriché. Allons, sois heureuse, mon enfant : assure ton avenir ; pour moi, je ne fais qu’un vœu : puissent Myrtalé et Simé[1] rester jeunes tant que Gullis respirera.


  1. Myrtalé et Simé sont sans doute de jeunes pensionnaires de l’entremetteuse.