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Page:Haag - Le Livre d’un inconnu, 1879.djvu/55

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XXII


Tristes forêts, ravins déserts semés de ronces,
Lieux où hurlent la nuit les chats-pards et les onces,
Mon âme se complaît dans vos austérités,
Car c’est une douceur aux cœurs déshérités
De sentir la Nature indocile et rebelle
Autour d’eux, et d’entrer en révolte avec elle.