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Page:Haag - Le Livre d’un inconnu, 1879.djvu/98

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Que l’émeute aux abois gronde dans la cité
Ou que, monstre dompté, la foule au joug servile
Se plie en d’énervants désirs de volupté,

De l’amer Océan calme épouse docile,
Tu vas mêler sans cesse à son flot irrité
La paisible douceur de ton onde tranquille.