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Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/204

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tugais. Ils me promirent de le faire ; mais ils voulurent d’abord se reposer, et manger le mokaen[1], c’est-à-dire la chair rôtie des deux chrétiens.

  1. On verra plus loin que ce mot signifie de la viande fumée : l’auteur écrit aussi mockaein.