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Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/305

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CHAPITRE XXVIII.


Des cérémonies avec lesquelles les sauvages tuent et mangent leurs prisonniers.


Quand les prisonniers arrivent au village, les femmes et les enfants les accablent de coups : on les couvre ensuite de plumes grises, on leur rase les sourcils, et l’on danse autour d’eux. Ensuite les sauvages les attachent fortement afin qu’ils ne puissent pas s’échapper ; puis ils les mettent sous la garde d’une femme,