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Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/41

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CHAPITRE VI.


Mon second départ de Séville en Espagne pour l’Amérique.


L’an 1549 de Notre-Seigneur, quatre jours après Pâques, nous mîmes à la voile de Saint-Lucas, et le vent étant devenu contraire, nous entrâmes dans la rade de Lisbonne. Aussitôt qu’il eut tourné, nous nous dirigeâmes vers les Canaries, et nous jetâmes l’ancre dans le port d’une ville nommée Palma, où nous em-