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Page:Haraucourt - L’Âme nue, 1885.djvu/107

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LA VIE EXTÉRIEURE.

Et voici, rayonnant, venir, dans les cantiques,
Les bannières de soie et les saints d’or bruni,
Et le peuple en haillons chante autour des portiques :
« Soyez béni, Seigneur ; Seigneur, soyez béni ! »