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Page:Haraucourt - L’Âme nue, 1885.djvu/207

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LA VIE INTÉRIEURE.

Aux maudits que l’angoisse inonde
Tu permets les oublis moqueurs,
Et tes baisers chantent en chœurs
Dans les taudis où le vent gronde,
Ô Volupté, reine du monde !