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Page:Haraucourt - L’Âme nue, 1885.djvu/28

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LES LOIS.



Mais elle va sonner, l’heure des glas funèbres
Où l’orgueil dessillé voit clair dans les ténèbres :
Les Règnes, doucement, reprendront mes lambeaux ;
Ils en feront des fleurs pour nourrir les abeilles,
Et mon sang rajeuni coulera dans les treilles
    Pour griser des peuples nouveaux !