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Page:Haurigot - Excursion aux Antilles françaises, 1890.djvu/110

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LES ANTILLES FRANÇAISES.

etc. Les mots français qui s’y rencontrent sont presque tous méconnaissables à force d’être défigurés ; quelques-uns sont tirés du langage particulier à telle ou telle province. Parmi ces derniers, nous en citerons un bien joli, qui est une sorte d’onomatopée imitative du chant des oiseaux au matin. La pointe du jour, en vieux langage bas-breton, s’appelait la piperette ; les nègres en ont fait le pipirit chantant.