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Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 13.djvu/207

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à la bienséance. Je vous embrasse avec transport, et suis à vous pour jamais. Envoyez sur-le-champ, je vous prie, mémoire et lettre à M. d’Argental ; ranimez le tiede Tiriot du beau feu que vous avez ; qu’il soit ferme, ardent, imperturbable dans l’amitié ; et qu’il ne se mêle jamais de faire le politique, et sur-tout de négocier quand il faut combattre. Adieu, encore une fois.

Ce 19.