correspondent à une solution périodique, il viendra
(11) |
où et sont des fonctions linéaires par rapport aux dont les coefficients sont des fonctions périodiques de
Voici maintenant comment on peut obtenir toutes les relations de la forme (11) en partant des équations (10).
Considérons deux polynômes le premier se réduisant à une constante, et le second étant du premier degré, le premier étant la dérivée du second. Les équations (10) correspondantes s’écriront
(10 bis) |
(10 ter) |
les et les étant périodiques en on en déduit
ce qui est une relation de la forme (11).
Remarquons encore que l’équation (10 bis), élevée au carré, nous fournit une relation de la forme (8) et que des équations (10 bis) et (10 ter) on peut déduire une relation de la forme (9), à savoir
260.Appliquons ce qui précède au Problème des trois Corps, et cherchons quel peut être pour ce Problème le nombre maximum des invariants intégraux des diverses sortes étudiées dans le numéro précédent ; à savoir :
Première sorte : invariants linéaires par rapport aux différentielles
Deuxième sorte : invariants où la fonction sous le signe est la racine carrée d’un polynôme du second degré par rapport aux différentielles des
Troisième sorte : invariants du second ordre, linéaires par rapport aux produits de différentielles
Quatrième sorte : invariants de la forme considérée à la fin du