Page:Henry - Les Littératures de l’Inde.djvu/92

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celui ci demeure le monisme essentiellement cher à l’esprit hindou, et c’est lui qui domine en réalité la pensée des philosophes même d’éducation et de principes dualistes. Toutes leurs divergences semblent s’accorder et se fondre en cette négation et cette affirmation transcendantes : — Rien n’est ; l’Un est Tout. — Le platonisme n’a eu qu’un temps en Grèce ; le Vêdânta est vraiment la philosophie de l’Inde.