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Page:Hilaire Le Gai (Gratet-Duplessis) Un million d’énigmes, charades et logogriphes.djvu/199

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Et sa mégère
Voudraient de peur
Remplir mon cœur.
Leur courroux m’aide ;
Tout à ma voix,
Tout à mes lois,
Obéit, cède.
L’air s’obscurcit ;
Terreur profonde !
La foudre gronde
Et l’éclair luit.
Épais nuage
Couvre les cieux ;
Bientôt l’orage
Devient affreux.
Tout ce tapage
Est mon ouvrage ;
Dans un instant,
C’est différent.
Dans le bocage.
Le rossignol
Reprend son vol
Et son ramage ;
Je m’adoucis.
Et je ramène
Les jeux, les ris.
L’aimable Iris