Aller au contenu

Page:Hilaire Le Gai (Gratet-Duplessis) Un million d’énigmes, charades et logogriphes.djvu/419

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


613. Logogriphe.

Quatre pieds forment mon essence ;
Mais, ceux que je puis comporter,
Cher lecteur, malgré ta science,
Tu ne pourrais point les compter.
Si toutefois de me connaître
Tu sens le désir curieux,
Lecteur, décompose mon être,
Et trois de mes pieds à tes yeux
Offrent un bien qu’après la gloire,
Tout honnête homme doit chérir ;
Dont peu d’humains, suivant l’histoire,
Ont possédé l’art de jouir.
L’impatience te dévore !
Eh bien ! dans un ordre nouveau,
Trois de mes pieds peuvent encore
À tes yeux offrir un oiseau,
Animal vigilant, timide,
Dont le cri, poussé jusqu’aux deux,
Trahit la valeur intrépide
De nos redoutables aïeux.


614. Charade.

Si mon premier est bon, mon second l’est de même ;
Mon tout pour les enfants est d’un attrait extrême.