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Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/147

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ma conquête n’étoit pas difficile ; il me cajola quelques momens ſans tirer de moi grande réponſe. Alors, pour chaſſer mieux ma timidité : regardez-moi donc, me dit-il, mademoiſelle, je vous en conjure ; je levai les yeux ſur lui ; mais, ah ciel ! que vis-je alors ? Dois-je le dire ? oui ſans doute ; eh que ſerois-je encore d’une pudeur importune ; après ce que j’ai annoncé de mon état, elle ne ſauroit aſſurément me convenir. Eh bien, ce que je vis fut un priape de la taille la plus majeſtueuſe ; en un mot, le plus gros & le plus beau v.. du mon-