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Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/182

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chambre, je l’apperçus négligeamment couchée ſur le bord de ſon lit, les cuiſſes écartées de maniere que l’une tomboit du lit : elle faiſoit ſemblant de rêver ; elle ne parloit qu’en ſoupirant : ſes jupes étoient levées, je vis ſon bijou à découvert, il étoit ſurmonté d’une élévation flaſque & ridée ; j’en ai ſu la raiſon depuis ; elle avoit le doigt à l’orifice, & paroiſſoit ſe donner du plaiſir : ah ! ma chere, ah ! ma tendre amie, diſoit-elle, oui je t’aime, je t’adore… je n’en puis plus… je me meurs… Mon dieu ! m’écriai-je auſſi-tôt. Qu’eſt-ce donc ? répondit elle

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