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Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/195

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veauté bien intéreſſante pour moi. Nous continuâmes ainſi pendant un mois, au bout duquel ſœur Prudence me dit qu’elle vouloit m’inſtruire à fonds. Croyez-vous, ajouta-elle, qu’on ne puiſſe prendre du plaiſir que par le meuble du devant ? je répondis que je ne croyois pas la choſe poſſible autrement. « Je vois bien, pourſuivit la none, qu’il te faut encore quelqu’une de mes leçons : apprends donc, ma mignone, qu’il eſt une autre route pour le plaiſir, auſſi voluptueuſe que celle du c... pour le moins ; le cul, le croi-