Aller au contenu

Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/291

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
(280)


ſervice, que le pauvre calotin ne dreſſoit déjà plus : je me rendis alors ſa dénonciatrice ; il fut obligé de montrer ſon pauvre nerf qui étoit mol, flaſque & froid comme glace ; l’abbé fut condamné tout d’une voix ; il ne ſe démonta cependant point, & nous dit du ton le plus aſſuré que plus d’une femme ſeroit exploitée ce ſoir là même du v... qu’on critiquoit avec tant de fureur, & qui ne ſe repoſoit, en ce moment-là, ajouta-t-il effrontément, que pour mieux jouter. Il eut beau faire pendant tout le reſte du repas ; ni les artichaux frits, ni