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Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/356

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ment le proverbe, le fil de notre hiſtoire. Le cavalier en queſtion ajouta à ce qu’il venoit de me dire : « tiens-toi prête pour ce ſoir, petite ; nous reviendrons au nombre de ſix, tous jeunes gens, parmi leſquels deux te f..tront en cul, pour ne point avoir la vérole ; quant à moi, qui l’ai déjà, je me f.... d’entrer dans ton c..., mais quant aux autres jeunes gens, je te charge de leur en flanquer autant qu’à moi : ce ſont des b..gres dont je veux me venger : le plus beau pour toi, & le meilleur, c’eſt qu’ils te payeront comme au change. »

P v