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Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., En voyage, tome II.djvu/55

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20 août. — 1 heure de l’après-midi.

Je t’écris de l’auberge de Pierrefonds, mon Adèle, avec l’admirable ruine sous ma croisée. J’ai eu beaucoup de peine à venir jusqu’ici. Les voitures manquent. Je vais gagner Villers-Cotterets, et, si l’impériale d’une diligence ne me fait pas défaut, je serai peut-être en même temps que cette lettre à Paris. Mon cœur y est depuis longtemps.