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Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Roman, tome III.djvu/56

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LES MISÉRABLES. — FANTINE.

mais sa nature, jusqu’au point de ne plus veiller sur lui. Elles le confiaient à Dieu.

D’ailleurs Baptistine disait, comme on vient de le lire, que la fin de son frère serait la sienne. Madame Magloire ne le disait pas, mais elle le savait.