mes efforts, attestant ainsi la race des Noces Corinthiennes et de Leuconoë.
Veuillez agréer, monsieur, l’assurance de mes sentiments sympathiques.
Voulez-vous être aimable encore une fois ?
Supprimez, je vous prie, le nom de Barrès là où il se trouve avec les noms de Morice et Régnier. (C’est tout à la fin de l’interview, je crois.)
Voulez-vous ajouter aussi cette phrase entre mes propos sur Tailhade et Vignier :
Sur Barrès :
— Je l’aime beaucoup. Il a retrouvé la charmante manière de conter des vieux humouristes.
Merci et excusez-moi du mal que je vous donne.
Vous avez rendu, mon cher confrère, un service immense
à la jeunesse contemporaine, en publiant votre Enquête
littéraire. J’aime à croire que les intelligences nubiles,