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Page:Huysmans - En route, Stock, 1896.djvu/427

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laisse pas, en effet, de m’inquiéter, je compte sur un abbé que je fréquente, sur celui-là même qui m’a envoyé dans cette Trappe.

Et cela me fait penser, reprit-il, en se levant pour se rendre à Complies, que j’ai encore oublié de lui écrire. Il est vrai que, maintenant, il est trop tard, j’arriverai chez lui presque aussitôt que ma lettre. C’est bizarre, mais à force de se promener dans ses propres aîtres, à force de vivre sur soi-même, les jours coulent et l’on n’a le temps de rien faire ici !