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Page:Huzar - La fin du monde par la science, 1855.djvu/111

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vers, s’aperçurent bientôt de son infidélité, car ils avaient fixé les résidences des dieux ; irrités, ils se plaignirent de son larcin à Dieu, à l’instant, le Tout-Puissant, irrité d’un tel excès d’orgueil, le frappa ; en effet, tant d’orgueil devait attirer sur l’homme la vengeance du Très-Haut et il fut précipité du haut des cieux dans le fond de l’abîme. Longtemps étourdi de cette effroyable chute, quand le Dieu homme fut revenu à lui, il scruta sa conscience, s’humilia sous la main qui l’avait frappé ; à la fin l’Éternel voulut bien lui apparaître et lui demander s’il ne savait pas qu’un de ses noms était le vengeur de l’orgueil ; c’est, ajoute le Très-Haut, le seul crime que je ne pardonne pas » (retenez bien ces derniers mots, ils sont toute l’histoire de l’homme).

LXXVII.

Quel rapprochement extraordinaire