de 1 400 ans et même plus considérables
qui devaient être terminés par des révolutions
générales dans la nature tous
les 3 000 ans, disait la tradition, à l’équinoxe
du printemps, quand la sécheresse
exerce son empire. Quand on attend la
corne de salut et d’abondance, au lieu
de l’inondation du Nil survient un déluge
de feu, le monde entier est la
proie des flammes, et la terre sacrée
d’Hermès, s’évanouit elle-même en fumée,
puis Syrius revient, et avec lui,
l’inondation préservatrice. »
Il faut remarquer ceci, c’est que chez les Hindous, Wichnou est le principe de l’eau et Siva le principe du feu, comme en Égypte Typhon est le feu, et Syrius est l’eau. Le grand rôle de Syrius et de Wichnou est donc d’éteindre l’incendie allumé par Siva et par Typhon. La fin du monde arrive donc par le feu, c’est-à-dire par Siva et Typhon qui consument tout : puis