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Page:Huzar - La fin du monde par la science, 1855.djvu/159

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place aux nouveaux cieux et à la nouvelle terre. (Apoc. XXII.)

CVI.

Nous venons d’assister à cette grande prophétie de la fin du monde que toute l’antiquité nous raconte d’une manière si saisissante, nous avons assisté aux derniers temps annoncés par la Bible ; il nous serait facile d’étendre nos citations à l’infini ; nous laissons ce soin au lecteur. Qu’il prenne le premier livre venu de cosmogonie ou de théogonie, il y trouvera une moisson immense à faire qui lui permettra de satisfaire complètement sa curiosité. Mais, qu’on le remarque, dans toutes les religions le serpent, symbole de la ruse, de la séduction, de la tentation, est le grand acteur de cet épouvantable drame, il en est tout à la fois la cause et l’effet.