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Page:Huzar - La fin du monde par la science, 1855.djvu/22

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phétique, n’est-ce pas toi que j’entends encore éclater de nos jours, — quand à chaque grande découverte moderne l’homme s’écrie avec terreur :

Où allons-nous ?

N’est-ce donc pas là le cri instinctif de l’oiseau qui sent venir l’orage.

Le dernier chant du cygne précurseur de la mort.

Qu’est-ce donc que la vie ?

La lutte éternelle de la liberté contre la fatalité et le triomphe définitif des forces brutales de la nature sur la liberté humaine.

Voilà tout son sens.

C’est le mythe de Brahma se dé-