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Page:Ivoi - La Mort de l’Aigle.djvu/198

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fusillade qui les coucha sur le sol, avant qu’ils eussent atteint l’abri d’où ils étaient sortis tout à l’heure.

Le gamin avait tué l’officier qui les commandait.

Comme il restait là, étonné de ce qu’il venait de faire, le comte s’approcha et lui tendant la main :

— Merci ; sans vous j’étais perdu.