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Page:Jacques Offenbach - Maitre Péronilla.pdf/84

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–––––––Tu sais bien trouver la route !
–––––––Guide-nous, sois-nous clément !
RIPARDOS.

(Parlé.) Allons ! venez ! venez !

PÉRONILLA, ouvrant un œil.

Tiens, ma fille qui se sauve ! Heureusement, c’est toujours avec le même.

RIPARDOS.

(Chant.)

–––––––Malédiction ! cette porte !
–––––––Est fermée à double tour !
FRIMOUSQUINO.
–––––––Qui nous a pu jouer ce tour ?
ALVARÈS.
––––––––Comment trouver la clef ?
FRIMOUSQUINO.
––––––––––Faisons en sorte !
–––––––––De la découvrir,
–––––––––––Et d’ouvrir.

(Ils prennent les clefs des autres portes et les essaient.)

ALVARÈS, cherchant.
––Rien !
MANOELA, de même.
––Rien ! Rien !
FRIMOUSQUINO.
––Rien ! Rien ! Les autres clefs ne vont pas !
ALVARÈS.
––Rien ! Rien ! Les autres clefs ne vont pas ! Comment faire ?
PÉRONILLA, à part.

(Parlé.) Il est gentil ! je ne peux pourtant pas lui dire où ma sœur a mis la clef !