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Page:Jaloux - Les barricades mystérieuses, 1922.djvu/50

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LES BARRICADES

une dérision de la Nature. Dans ces maisons rouges et noires, où je me plaisais à imaginer tant de scènes galantes ou le spectacle du génie, des femmes en camisole passaient dans le cadre des fenêtres, ou des hommes, mal vêtus et qui fumaient des pipes. Tout conspirait, tout se liguait contre moi.

Alors, je pris un horaire des trains, je cherchai à quelle heure partait le rapide pour Saint-Sébastien, l’express de Vallorbe. J’entendais laisser à leur destin Martial et Wanda, vivre pour moi, retrouver la paix…

Le samedi, j’étais de nouveau à Jouy.



— Wanda est dans le jardin, me dit Mme de Vionayves. Allez l’y chercher, et même, si vous pouviez la rendre plus raisonnable…

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