Aller au contenu

Page:Jammes - De l’Angélus de l’aube à l’Angélus du soir.djvu/140

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Mes yeux qui se fixaient à l’horizon des côtes
y voyaient, agrandies, des silhouettes d’hommes.
Mais c’est en vain que mon regard triste a cherché
la diligence qui, avant que je fusse né,
ramena au pays, le long de la source vive,
mon grand-père qui revenait des Antilles.


1897.