Aller au contenu

Page:Jammes - Le Deuxième Livre des quatrains, 1923.djvu/44

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XXIV

LE BRASIER


Nul n’a vu le secret des hommes dans leurs yeux,
N’a reçu l’abandon de leur sombre franchise,
Et pas même, souvent, un ministre de Dieu,
Autant que le foyer qu’une pincette attise.