Aller au contenu

Page:Jammes - Le Deuxième Livre des quatrains, 1923.djvu/73

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


LIII

À PIERRE LOTI


Ce fut dans l’inquiet matin de mes vingt ans :
Tu me montras ce grand chapeau d’une créole.
Jusque sur ton tombeau depuis lors il suspend
Son cadre jaune et rond qu’une absence désole.