Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/175

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

venus, qu’elle jugeait les plus grands malades. Et Sengle les savait par ouï-dire.

Il ne crut rien pouvoir demander de plus difficile, pour l’épreuve de Sa-Dame, qu’un réveil en sursaut, cette nuit-là, à dix heures.