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Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/180

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tendue qu’ainsi ils étaient comparativement libres, leurs paroles chassant au-dehors les verrous. Le conte de Sancho s’interrompait en des explosions de peur burlesque ; les poumons de Dricarpe s’écroulaient et coulaient en pus dans ses paroles, et il y avait des haltes tintantes de crachoirs reposés. Ainsi ils chevauchaient par-dessus les platanes et cyprès balancés du jardin.