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Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/236

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mourant à l’entrée de l’asile angulaire de Sengle.

Il y avait une fille avec un chien sur un divan.

« Voici Akem, » dit Nosocome, communiant le poète polonais Pyast, le philosophe allemand Herreb et Sengle des pilules de haschisch.

On attendit une heure, jusqu’à ce que Nosocome bondit, cria qu’il ne voulait chez lui ni putains, ni chiens, ni surtout chiens de putains, empoigna la bête et la fille jusqu’à la porte ; et les propos commencèrent.

nosocome

« En mil huit cent… mil huit cent mille… vers… vil milliards de verres…

pyast

Mille vibriards de verres de montre.