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Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/267

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V
lettre de sengle à valens

« Mon frère chéri, voici les écailles du dragon liberté qu’il te faut revêtir. Il suffit qu’elles se greffent en un endroit, et tu n’as pas besoin de prendre garde aux feuilles de tilleul. Voici, je crois, le meilleur moyen de faire cette greffe sûre et invisible.

« Nous nous sommes lavé les mains, dans des excursions cycliques, du cambouis des machines avec du savon noir et des bouchons de copeaux étroits. Il faut te frictionner avec un de ces bouchons