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Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/87

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visible, ils se confondraient trop jumeaux.

Avant Valens, il eut plusieurs amitiés qui s’égarèrent, des faute-de-mieux, qu’il reconnut plus tard avoir subies parce que les traits étaient des à-peu-près de Valens, et les âmes, il faut un temps très long pour les voir. L’une dura deux ans, jusqu’à ce qu’il s’aperçut qu’elle avait un corps de palefrenier et des pieds en éventail, et pas d’autre littérature qu’un amiévrissement de la sienne, à lui Sengle ; laquelle fit des ronds des mois après avec des souvenirs rapetassés dans la cervelle de l’ex-ami. Il trouvait mauvais également, fervent d’escrime, qu’on eût peur des pointes et ne sût pas cycler assez pour jouir de la vitesse.

Ces gens horripilaient Sengle, qui, se croyant poètes, ralentissent sur une route, contemplant les « points de