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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 4.djvu/35

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la dernière de ces équations donne

dans le premier cas, la première équation deviendra

mais

donc n’est pas une intégrale particulière ; reste donc le cas de

dans lequel la première équation devient

mais on a, dans ce même cas,

donc substituant cette valeur et multipliant par l’équation précédente deviendra

qui s’accorde avec

en sorte que cette équation sera une intégrale particulière.

Ainsi les deux conditions et donnent, dans le cas présent, la même intégrale particulière

ce qui s’accorde avec ce que nous avons trouvé (6), d’où il s’ensuit que