Faisant donc, comme dans le no 12,
et de même
on aura
valeurs qui sont exactes, à la quatrième dimension de près.
Or, comme les quantités sont toujours finies, quelque petit que soit l’intervalle de temps et que d’ailleurs et sont aussi par leur nature des quantités finies, il s’ensuit que les quantités seront nécessairement toujours des quantités finies ; et comme les quantités sont semblables à on en conclura que seront pareillement des quantités finies.
D’où l’on voit que les seconds termes des expressions précédentes de seront très-petits de l’ordre de et que par conséquent ces expressions seront exactes, aux quantités de l’ordre de près.
21. Je considère maintenant que, si les intervalles entre les trois observations sont égaux, ou du moins à très-peu près égaux, on aura