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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 4.djvu/700

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MÉMOIRE SUR LA THÉORIE

il est visible que, pour savoir ce que deviennent ces côtés, il n’y aura qu’à augmenter, dans l’expression précédente, de et ensuite de ainsi ces côtés deviendront


valeurs qui se réduisent à


en négligeant les infiniment petits du troisième ordre.

Il s’ensuit de là que les trois côtés parallèles et égaux à du parallélépipède rectangle deviendront dans l’instant suivant


et seront par conséquent encore égaux entre eux. On trouvera par une analyse semblable que les trois côtés parallèles et égaux à se changeront en


et que les trois côtés parallèles et égaux à se changeront en


de sorte que le parallélépipède rectangle se trouvera changé en un autre parallélépipède dont les côtés seront


Or, si ces côtés étaient encore dans la direction des lignes il n’y aurait qu’à les multiplier ensemble pour avoir la capacité du parallélépipède laquelle serait donc, en négligeant ce qu’on doit négliger,