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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/109

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INDEX GÉNÉRAL

la Marine dans le cabinet Dupuy ; apprend par les journaux l’arrestation de Dreyfus ; n’assiste pus au Conseil où est décidée l’ouverture d’une instruction judiciaire, I, 207. — Mandé par Casimir-Perier qui lui donne les raisons de sa démission, 558. — Candidat à la Présidence de la République, 559. — Son élection, 560. — Charge Bourgeois puis Ribot de constituer un cabinet, 560. — Connaît la communication secrète, 598. — Lettre que lui adresse Dreyfus, II, 148-149. — Donne audience à Gibert, qui lui montre une lettre de Dreyfus à sa femme, 173. — Autorise Gibert à faire savoir à Mathieu Dreyfus que son frère a été condamné sur le vu d’une pièce inconnue de la défense, 174. — Laisse sans réponse la requête que lui adresse Mme Dreyfus pour être autorisée à rejoindre son mari, 179-181. — Affirme à Bourgeois la culpabilité de Dreyfus, 182. — Pris à partie par Drumont qui révèle la condamnation de son beau-père et réclame sa démission, 198. — Article de Zola dans le Figaro : La Vertu de la République, 198, note 2. — Nouvelles menaces de Drumont contre lui, 199. — Supplique que lui adresse Dreyfus. : 318-319. — N’est pas averti par Billot des résultats de l’enquête de Picquart, 340. — Sa fille le met au courant d’un entretien qu’elle a eu avec Scheurer-Kestner, 530. — Son voyage en Russie, 541-542. — Empêche Darlan de lui parler de l’Affaire, 548. — Chasse avec Scheurer-Kestner ; ne lui parle pas de l’entretien que celui-ci lui a fait demander par Mlle Faure, 616. — Reçoit d’Esterhazy une première lettre comminatoire, 622-623. — Donne audience à Scheurer-Kestner, 624. — Refuse ses confidences, mais l’assure d’une « neutralité bienveillante », 625. — Reçoit une seconde lettre d’Esterhazy ; article de la Libre Parole, 644-645. — Communique cette lettre à Billot et à Boisdeffre, 646. — Reçoit d’Esterhazy une troisième lettre le menaçant de la publication du « document libérateur », 655-657. — Transmet cette lettre à l’État-Major, 658. — Reproche à Darlan de ne pas réclamer le respect de la chose jugée, 663. — Reçoit une nouvelle lettre de Dreyfus, 679. — Ne parle pas des lettres d’Esterhazy au Conseil des ministres qui suit la dénonciation de Mathieu Dreyfus, III, 4. — Prie Scheurer-Kestner de démentir une information d’après laquelle celui-ci serait allé par deux fois le solliciter en faveur de Dreyfus, 36. — Donne audience de congé à Schwarzkoppen qui lui déclare n’avoir jamais connu Dreyfus, 42-43. — Aurait déclaré, selon Esterhazy, que la revision ne se ferait pas tant qu’il serait Président, 87. — Démarche faite auprès de lui par les commandants de corps d’armée à la suite de l’enquête sur Esterhazy, 133. — La lettre J’accuse, 223-229. — Reçoit deux nouvelles suppliques de Dreyfus et les communique à Billot, 337. — En reçoit une autre où Dreyfus lui adresse un dernier appel, 338. — Menace Gibert d’un démenti s’il dépose au procès Zola, 400. — Est vainement sollicité par Poirrier d’intervenir en faveur de Grimaux révoqué par Billot, 492. — Refuse de prendre connaissance du dossier Du Paty-Comminges, 524. — Déclare que « ce ne sont pas quinze cents gredins qui feront marcher la France », 618. — Son discours à Saint-Etienne (29 mai 1898), 627. — Offre à Brisson de constituer un cabinet après la chute de Méline, 632-633. — Signe la mise en réforme d’Esterhazy, IV, 206. — En villégiature au Havre, est rappelé par Brisson à Paris après la démission de Cavaignac, 236. — Ses